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Le grand thème du CES de cette année était «l'Internet des objets», qui vise à équiper tous vos appareils et équipements de capteurs et de processeurs pour améliorer le niveau de confort humain. MIT News écrit que pour réaliser ce rêve, nous avons besoin de capteurs suffisamment puissants pour transmettre des données à des endroits lointains et consommer moins d'énergie.
Les chercheurs du MIT ont réussi à trouver un moyen de rendre les puces multicœurs beaucoup plus rapides que leur vitesse actuelle et leur puissance de veille extrêmement faible..
Anantha Chandrakasan, professeur en génie électrique au MIT, raconte:
«Un défi majeur consiste à concevoir ces circuits avec une puissance de veille extrêmement faible, car la plupart de ces appareils sont juste au ralenti, attendant qu'un événement déclenche une communication. Lorsqu'elle est allumée, vous voulez être aussi efficace que possible, et lorsqu'elle est éteinte, vous voulez vraiment couper l'alimentation à l'état bloqué, la puissance de fuite. »
Dans quelques jours à venir, ce groupe présentera une nouvelle conception d'émetteur qui réduit de 100 fois les fuites à l'état désactivé. En outre, il donne suffisamment de puissance pour la transmission Bluetooth et la communication sans fil à plus longue portée.
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Travail:
L'élément de base d'un circuit est un transistor dont les têtes électriques sont connectées à du silicium comme un matériau semi-conducteur. Ces semi-conducteurs ne sont ni très conducteurs, ni de parfaits isolants. Dans l'état natif, une très bonne quantité de charge s'échappe à travers les transistors. Le contrôle de cette fuite peut entraîner une augmentation considérable de la durée de vie de la batterie.
Chandrakasan, avec ses collègues, a réduit la fuite au repos en appliquant une charge négative à la porte. Cela repousse les électrons de la tête électrique et fait du semi-conducteur un isolant amélioré. Pour générer cette charge négative, les chercheurs ont utilisé un circuit appelé pompe de charge (un petit réseau de condensateurs et d'interrupteurs).
Pendant la condition active, les chercheurs du MIT ont fait quelque chose d'extraordinaire et de distingué. Dans des conditions normales, la fréquence diffusée d'un émetteur est fonction si la tension est appliquée. Ici, les chercheurs ont trouvé un moyen de générer le signal électromagnétique en groupes distincts et peu d'entre eux ont besoin de tensions plus élevées. Pour ce faire, le circuit utilise des inductances et des condensateurs pour augmenter localement la tension. Cela se traduit par l'exigence globale de basse tension associée à l'avantage des transmissions haute fréquence.
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